Mardrök était assis sur son trône en pierre, des gardes en armure pollie se tenaient à ses côtés, comme à chaque fois qu'il s'asseyait sur ce trône. Ils connaissaient maintenant presque tous ses compatriotes, du poivrot d'auberge méprisé, aux mineurs devenus riches en ayant trouver un énorme filon d'argent. Aujourd'hui, c'était les doléances, où comme à chaque fois, son conseiller faisait la liste des choses qui devaient être réglé au plus vite. Le roi n'écoutait pas forcément de ses deux oreilles, et préférait pensé à autre chose. En ce moment même, Limk'daz, le conseiller parlait...
- Mon seigneur, notre commerce commence à chuter...Les caravanes n'affluent plus dans notre cité, il faudrait aller voir dans les villes de nos alliés et...
Mardrök lui coupa la parole. Cela faisait déjà quelque temps que le commerce n'allait plus de bon train. Et il le savait. Mais jamais un Roi nain n'est aller querir ses alliés pour des choses aussi futiles. Les nains pouvaient bien survivre sans son commerce, bien que certains se soyent accomodés au luxe. Si les Humains ou les Elfes voulaient remonter le commerce, il faudrai qu'ils viennent aux mêmes sur les terres des nains, alors ils seraient accueillit comme il se doit, mais pas avant.
- Je sais, Limk'daz. Mais que voudrais tu faire, hein? Eh bien moi je sais ce que tu vas faire. Si tu veux tellement retrouver tes fruits et autres nourritures exotiques, eh bien va voir par toi même ce que font les caravanes.
- Mais, mon Roi...c'est dangereux ! Bien sûr que je vois revoir les caravanes dans notre cité mais...
- Je ne te donne pas le choix, tu pars avec la prochaine caravane ! A bientôt, Limk'daz, que ta barbe ne se fasse pas couper par une branche trop basse !
Mardrök savait bien que ses gardes se retenaient de rire sous leur casque, lui même avait le sourire aux lèvres face à la tête du conseiller, qui s'empressa tout de même de s'incliner et de partir. Au moins aurait-il la paie pour quelque temps, et des réponses peut-être...